Vote par anticipation: pourquoi notre mode de scrutin ne doit pas être “modernisé”
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Ironie de l’Histoire, ou goût du paradoxe? Alors que les États-Unis sortent à peine d’une séquence électorale dont l’issue chaotique a été rythmée par les accusations — certes délirantes — de fraude au vote par correspondance, le sujet plus large du vote par anticipation revient sur le devant de la scène en France, à l’occasion d’un amendement discuté au sénat, après des propositions similaires, ces derniers mois, de Jean-Louis Debré et François Bayrou.
Si la justification en est honorable — renforcer le nombre de votants — on peut s’interroger sur l’efficacité réelle d’une telle mesure, sur ses dangers, et surtout sur ce qu’elle révèle de notre rapport à la démocratie.
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Romain Pigenel
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